JÉSUS, UNIQUE SOLUTION A LA BRÛLANTE PROBLÉMATIQUE TRANSGRESSIVE, LÉTALE, DE L’HUMANITÉ !
Le haut niveau d'information porté à notre connaissance par la bible,
révélation divine, grille infaillible d'analyse et de décryptage du présent
système-monde, aliéné par son mode existentiel superficiel, vain et sans
espérance des sans-Dieu, décrit très explicitement " la crise
transgressive létale, générique, " perpétrée en Éden par les premiers ascendants de
l’humanité, type matriciel, standard, récurrent, de tous les modèles
transgressifs historiques ultérieurs, systémiquement amplifiés, paroxysés et
complexifiés, en intentionnelle et flagrante violation du process créationnel,
de ce fait, radicalement détourné de son initiale et divine présélection de
finalité, de sa raison d'être fondamentale et vocation première.
Devenue, depuis lors, génératrice et
motrice de civilisations successives, frappées du sceau de la culture de mort
inhérente au péché, et configuratrice d'un champ de l'histoire tragique, tel
que nous le connaissons, cette matrice transgressive n'a cessé de se
décliner et de se conjuguer sous tous registres possibles et imaginables
de recherches incessantes, brutes ou sublimées, d'avoir, de savoir et de
pouvoir, individuels et collectifs.
Cette même matrice transgressive s'est
puissamment et dangereusement accrue, sur un mode hautement catastrophique, par
une dynamique indistinctement étendue à tous, de compulsive volonté égocentrique,
narcissique, de volonté de domination d'autrui, et de fantasme chimérique de
toute puissance planétaire, systématiquement justifiés, légitimés et encouragés
par les diverses idéologies politico-religieuses insidieusement suscitées, tout
au long des siècles, par les stratégies perverses, malignes et
mystificatrices de satan, très provisoire prince de ce monde ...
Le serpent était le plus rusé de tous
les animaux des champs, que l’Éternel Dieu avait faits. Il dit à la femme: Dieu
a-t-il réellement dit: Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin
?
La femme répondit au serpent: nous
mangeons du fruit des arbres du jardin. Mais, quant au fruit de l'arbre qui est
au milieu du jardin, Dieu nous a dit: vous n'en mangerez point et vous n'y toucherez
point, de peur que vous ne mouriez.
Alors, le serpent dit à la femme: vous
ne mourrez point; mais, Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux
s'ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le
mal.
La femme vit que l'arbre était bon à
manger et agréable à la vue, et qu'il était précieux pour ouvrir
l'intelligence; elle prit de son fruit, et en mangea; et, elle en donna aussi à
son mari, qui était auprès d'elle, et il en mangea. Les yeux de l'un et de
l'autre s'ouvrirent, ils connurent qu'ils étaient nus et, ayant cousu des
feuilles de figuier, ils s'en firent des ceintures. (GENÈSE 3.1-7)
Cet accablant et désolant constat d’une
humanité assujettie, asservie et avilie, par son état structurel de péché
générateur de criminogénie polymorphe, met en évidence l’irréfragable preuve de
la situation de complète faillite et déchéance de l’homme, absolument
disqualifié quant à la solution de son équation intrinsèque vitale,
étant, tout à la fois, partie prenante au problème de mort spirituelle, et
constituant du problème en soi de cette même mort spirituelle,
consistant en une dramatique séparation éternelle d’avec Dieu, seul et unique
Créateur et Rédempteur de l’humanité.
Frappé de totale incapacité de « se
résoudre lui-même », le transgresseur, intégralement vicié par le péché et
irrémédiablement perdu, n'a, en dernière analyse, d'autre alternative opérante
que celle de se fier à Christ pour l’affranchissement de sa nature
déchue, sa condition aliénée, et son existence de transgresseur avéré,
invétéré, addict compulsif au toxique mortifère du péché - arme extrême de
satan, pour la perdition des pécheurs récalcitrants et réfractaires à la vitale
grâce de Dieu, gracieusement offerte en Jésus Christ.
Il n'y a de salut en aucun autre; car, il n'y a
sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par
lequel nous devions être sauvés (ACTES 4:12)
Car, il y a un seul Dieu, et aussi un seul
médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus Christ homme, qui s'est donné
lui-même en rançon pour tous. C'est là, le témoignage rendu en son propre
temps (1TIMOTHÉE 2:5-6)
Dans le but d’extraire l’homme de
l’impasse de la transgression, Dieu le convoque, " en colloque singulier
", pour un " règlement décisif de la question du péché ", et une
" sortie de crise définitive " de son état de mort spirituelle.
C’est par le seul et incontournable
Évangile, puissance exclusive de Dieu, capable d'anéantir les pires obstacles
de déni de péché, de méconnaissance de la fonction rédemptrice du Christ, et de
communiquer repentance, conversion et régénération spirituelle au pécheur, que
quiconque peut recevoir par la seule fois, telle que définie dans les écritures
révélées, le salut éternel de son âme, fruit d’une rédemption historiquement et
parfaitement accomplie par Jésus Christ, sur la croix de Golgotha, en terre de
Palestine, il y a deux mille ans déjà, de cela !
A contrario, celui qui refuse de croire,
selon le même esprit de la grâce, s’exclut dramatiquement de la joie suprême de
l'imputation du pardon, du don de la nouvelle naissance et de la filiation
divine.
En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme
ne naît d'eau et d'Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce
qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l'Esprit est Esprit.
Ne t'étonne pas que je t'aie dit: Il faut que vous naissiez de nouveau
(JEAN 3:5-7)
Car, quiconque fait le mal hait la lumière, et ne
vient point à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient dévoilées;
mais, celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses
œuvres soient manifestées, parce qu'elles sont faites en Dieu (JEAN
3:20-21)
Jésus leur dit: vous êtes d'en bas; moi, je suis
d'en haut. Vous êtes de ce monde; moi, je ne suis pas de ce monde. C'est
pourquoi, je vous ai dit que vous mourrez dans vos péchés; car si vous ne
croyez pas ce que je suis, vous mourrez dans vos péchés (JEAN 8:23-24)
DIEU APPELLE !
DIEU APPELLE !
Voici, maintenant, le temps favorable; voici, maintenant,
le jour du salut ! (2 CORINTHIENS 6:2)
Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas vos cœurs ! (HÉBREUX 4:7)
Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas vos cœurs ! (HÉBREUX 4:7)
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