mercredi 28 septembre 2016

JÉSUS, UNIQUE SOLUTION A LA BRÛLANTE PROBLÉMATIQUE TRANSGRESSIVE ET LÉTALE, DE L’HUMANITÉ !

     
 

JÉSUS, UNIQUE SOLUTION A LA BRÛLANTE PROBLÉMATIQUE TRANSGRESSIVE ET LÉTALE, DE L’HUMANITÉ !
Le haut niveau d'information porté à notre connaissance par la bible, révélation divine, grille infaillible d'analyse et de décryptage du présent système-monde, aliéné par son mode existentiel superficiel, vain et sans espérance des sans-Dieu, décrit très explicitement la crise  transgressive létale, générique,  perpétrée en Éden par  les premiers ascendants de l’humanité, type matriciel, standard, récurrent, de tous les modèles transgressifs historiques ultérieurs, systémiquement amplifiés, paroxysés et complexifiés, en intentionnelle et flagrante violation du process créationnel, de ce fait, radicalement détourné de son initiale et divine présélection de finalité, de sa raison d'être fondamentale et de sa vocation première. 
Devenue, depuis lors, génératrice et motrice de civilisations successives, frappées du sceau de la culture de mort inhérente au péché, et configuratrice d'un champ de l'histoire tragique, tel que nous le connaissons, cette matrice transgressive n'a cessé de se décliner et de se conjuguer sous tous registres possibles et imaginables de recherches incessantes, brutes ou sublimées, d'avoir, de savoir et de pouvoir, individuels et collectifs.

Cette même matrice transgressive s'est puissamment et dangereusement accrue, sur un mode hautement catastrophique, par une dynamique indistinctement étendue à tous, de compulsive volonté égocentrique, narcissique, de domination d'autrui, et de fantasme chimérique de toute puissance planétaire, systématiquement justifiés, légitimés et encouragés par les diverses idéologies politico-religieuses insidieusement suscitées, tout au long des siècles, par les stratégies perverses, malignes et  mystificatrices de satan, très provisoire prince de ce monde ... 

Le serpent était le plus rusé de tous les animaux des champs, que l’Éternel Dieu avait faits. Il dit à la femme: Dieu a-t-il réellement dit: Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ? 
La femme répondit au serpent: nous mangeons du fruit des arbres du jardin. Mais, quant au fruit de l'arbre qui est au milieu du jardin, Dieu nous a dit: vous n'en mangerez point et vous n'y toucherez point, de peur que vous ne mouriez. 
Alors, le serpent dit à la femme: vous ne mourrez point; mais, Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal. 
La femme vit que l'arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu'il était précieux pour ouvrir l'intelligence; elle prit de son fruit, et en mangea; et, elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d'elle, et il en mangea. Les yeux de l'un et de l'autre s'ouvrirent, ils connurent qu'ils étaient nus et, ayant cousu des feuilles de figuier, ils s'en firent des ceintures. (GENÈSE 3.1-7) 

Cet accablant et désolant constat d’une humanité assujettie, asservie et avilie, par son état structurel de péché générateur de criminogénie polymorphe, met en évidence l’irréfragable preuve de la situation de complète faillite et déchéance de l’homme, absolument disqualifié quant à la solution de " son équation intrinsèque vitale ",  étant, tout à la fois, partie prenante au problème de mort spirituelle, et constituant du  problème en soi de cette même mort spirituelle, consistant en une dramatique séparation éternelle d’avec Dieu, seul et unique Créateur et Rédempteur de l’humanité. 

Frappé de totale incapacité de " se résoudre lui-même ", le transgresseur, intégralement vicié par le péché et irrémédiablement perdu, n'a, en dernière analyse, d'autre alternative opérante que celle de se fier à Christ pour l’affranchissement de sa nature déchue, sa condition aliénée, et son existence de transgresseur avéré, invétéré, addict compulsif au toxique mortifère du péché - arme extrême de satan, pour la perdition des pécheurs récalcitrants et réfractaires à la vitale grâce de Dieu, gracieusement offerte en Jésus Christ. 

Il n'y a de salut en aucun autre; car, il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés (ACTES 4:12) 

Car, il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus Christ homme, qui s'est donné lui-même en rançon pour tous - C'est là, le témoignage rendu en son propre temps (1TIMOTHÉE 2:5-6) 

Dans le but d’extraire l’homme de l’impasse de la transgression, Dieu le convoque, " en colloque singulier ", pour un " règlement décisif de la question du péché ", et une " sortie de crise définitive " de son état de mort spirituelle.

C’est par le seul et incontournable Évangile, puissance exclusive de Dieu, capable d'anéantir les pires obstacles de déni de péché, de méconnaissance de la fonction rédemptrice du Christ, et de communiquer repentance, conversion et régénération spirituelle au pécheur, que quiconque peut recevoir par la seule foi, telle que définie dans les écritures révélées, le salut éternel de son âme, fruit d’une rédemption historiquement et parfaitement accomplie par Jésus Christ, sur la croix de Golgotha, en terre de Palestine, il y a deux mille ans déjà, de cela !

A contrario, celui qui refuse de croire, selon le même esprit de la grâce, s’exclut dramatiquement de la joie suprême de l'imputation du pardon, du don de la vie éternelle, et de la filiation divine.

En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d'eau et d'Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l'Esprit est Esprit. Ne t'étonne pas que je t'aie dit: Il faut que vous naissiez de nouveau (JEAN 3:5-7)

Car, quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient dévoilées; mais, celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses œuvres soient manifestées, parce qu'elles sont faites en Dieu (JEAN 3:20-21) 

Jésus leur dit: vous êtes d'en bas; moi, je suis d'en haut. Vous êtes de ce monde; moi, je ne suis pas de ce monde. C'est pourquoi, je vous ai dit que vous mourrez dans vos péchés; car, si vous ne croyez pas ce que je suis, vous mourrez dans vos péchés (JEAN 8:23-24) 

DIEU APPELLE ! 

Voici, maintenant, le temps favorable; voici, maintenant, le jour du salut ! (2 CORINTHIENS 6:2) 

Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas vos cœurs ! (HÉBREUX 4:7)


dimanche 25 septembre 2016

PROPHÉTIE DE CHRIST, EN MATTHIEU 24: CRISE SYSTÉMIQUE TRANSGRESSIVE GLOBALE PLANÉTAIRE ET IMMINENTE FIN DE LA PRÉSENTE ARCHÉO-HISTOIRE

                 
 

URGENCE ET EXIGENCE ABSOLUES
DE L’HEURE: SUIVRE JÉSUS EN DISCIPLES ACCOMPLIS
 !
 


La situation de « crise systémique transgressive globale », telle que prophétiquement préfigurée par Jésus en Matthieu 24, appelle, de la part des disciples, une acuité et une sagacité accrues dans l’observation et la reconnaissance des signes des temps, corrélatifs et annonciateurs d’une imminente conclusion messianique de l’histoire du monde en cours. 

L’unique approche réellement salutaire de cette période singulièrement critique de l’histoire de l’humanité est celle: d’une exclusive identification, une parfaite conformation à Christ, une indéfectible passion pour sa personne et son œuvre, une intériorisation absolue de la totalité des critères de référence et d’appartenance relatifs à son divin royaume, sans dissipation aucune, dans une attentive écoute et une responsable mise en pratique de ses instructions, sous la motion structurante et dynamisante du Saint-Esprit: 

Si quelqu'un m'aime, il gardera ma parole, et mon Père l'aimera; nous viendrons à lui, et nous ferons notre demeure chez lui (Jean 14 :23)
Vous êtes mes amis si vous faites ce que je vous commande (Jean 15:14)

C'est pourquoi, frères, appliquez-vous d'autant plus à affermir votre vocation et votre élection, car, en faisant cela, vous ne broncherez jamais. C'est ainsi, en effet, que l'entrée dans le royaume éternel de notre Seigneur et Sauveur Jésus Christ vous sera pleinement accordée (2 Pierre 1:11)

Une réalité incontournable à prendre en compte sera, et demeurera, jusqu’au retour du Maître: l’indispensable renoncement à toute attitude « égo-ethno-anthropocentrique », l’endossement du message « christocentrique » de la croix, un abandon total et irréversible de toute velléité de contrôle et de domination sur sa propre destinée ou de celle d’autrui, une abnégation et une oblation sans exception ni réserves - amour, fidélité, loyauté, communauté de vie et service divins ne souffrant ni distraction, ni dispersion d’aucune sorte:
 
Si quelqu'un veut venir après moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa croix, et qu'il me suive. Car, celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais, celui qui la perdra à cause de moi la trouvera. Et, que servirait-il à un homme de gagner tout le monde, s'il perdait son âme ? Ou, que donnerait un homme en échange de son âme ? (Matthieu16:24-26)
Jésus leur dit: Les rois des nations les maîtrisent, et ceux qui les dominent se font appeler bienfaiteurs. Qu'il n'en soit pas de même pour vous. Mais que le plus grand parmi vous soit comme le plus petit, et celui qui gouverne comme celui qui sert (Luc 22:25-26)

Certes, cette injonction de renoncement se situe en contradiction irréductible avec les valeurs fondamentales d’une civilisation mondiale « apneumatique », promotrice d’un modèle comportemental hédoniste, eudémoniste, érigé en un « universel absolu » réducteur de l’individu à une simple expression de pulsions chroniques, consommatrices de sensations somatiques, psychiques, sous forme de biens, prestations et autres services illimités…

En tout état de cause, Jésus demeure le seul recours, l’unique révélateur de l’état de transgression structurel des êtres humains - de toutes époques - seul apte à enseigner à ceux qui le créditent, ajoutant foi à sa parole, le moyen de sortie de l’impasse labyrinthique dans laquelle ils se sont tragiquement fourvoyés et abîmés.

Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira (Jean 8:32)
Si, donc, le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres (Jean 8:36)
Il n'y a de salut en aucun autre, car, il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés (Actes 4:12)

Dans cette génération – mais pour combien de temps encore ? - le Maître ne cesse d'appeler au salut, avec insistance,  par toutes voies et moyens spirituels, les « naufragés de la vie », par son offre unilatérale de salut, à titre gracieux. Sa mort sacrificielle à la croix, comme substitut, subrogé pénal, annulatrice de la nature matricielle transgressive de l’homme et des addictions et aliénations séculières inhérentes à celle-ci, produit, tout à la fois: l’introduction dans la vie de résurrection, l’installation dans la condition de disciple, la constitution dans la filiation eschatologique, et l’incorporation dans famille éternelle de Dieu – dans la maison du Père !!!

La proclamation de l’évangile du salut par grâce, annonçant l’insigne privilège d’une communauté universelle de personnes et de biens avec Jésus, par le partage de son incompréhensible amour et de ses insondables et incommensurables richesses, peut, selon les cas, chez les auditeurs convaincus, déclencher un formidable « élan d’identification et d’appropriation » par le moyen d’une foi christocentrique, hardie et audacieuse, comme susciter un genre d’attitude attentiste, passif, velléitaire, renforcé et consolidé par des conduites de dépendance psychoaffectives, ritualistes, liturgiques, institutionnelles ….

Pour moi, frères, ce n'est pas comme à des hommes spirituels que j'ai pu vous parler, mais comme à des hommes charnels, comme à des enfants en Christ. Je vous ai donné du lait, non de la nourriture solide, car vous ne pouviez pas la supporter et vous ne le pouvez pas même à présent, parce que vous êtes encore charnels (1 Corinthiens 3: 1-2)
L’heure vient, et elle est déjà venue, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité, car, ce sont là les adorateurs que le Père demande. Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui l'adorent, l'adorent en esprit et en vérité (Jean 4:23-24) 

Cependant, si l’exigence radicale de renoncement à soi-même, explicitement formulée par Jésus, ne concerne pas les êtres non encore régénérés, toujours soumis à l'ancienne nature psychique, assujettis à la loi du péché et la mort, elle constitue, en revanche, un impératif catégorique spirituel pour tous les disciples, sans exception, fils de Résurrection, régis par la loi de l’esprit de Vie qui est en Jésus-Christ, en même temps qu'une perspective d'affranchissement de toutes  formes de fixations et dépendances psychiques, en vue d'un attachement exclusif au Seigneur, sur le modèle du cep et des sarments, expurgé de tout objet transitionnel étranger à la foi.

J'ai été crucifié avec Christ et, si je vis, ce n'est plus moi qui vis, c'est Christ qui vit en moi; si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m'a aimé et qui s'est livré lui-même pour moi (Galates 2:20)
Et, même, je regarde toutes choses comme une perte, à cause de l'excellence de la connaissance de Jésus Christ mon Seigneur, pour lequel j'ai renoncé à tout, et je les considère comme de la boue, afin de gagner Christ (Philippiens 3 :8-9) 

De plus, le statut de disciple de Christ, de citoyen des cieux, de ressortissant du royaume de Dieu, de membre de la famille divine avec Dieu pour Père, constitue un niveau de réalités et de privilèges tel, si incompréhensible par la raison humaine, que seul le Saint-Esprit, sondeur des profondeurs de Dieu, à capacité de nous le faire connaître, nous en facilitant  la meilleure assimilation et la plus claire conscience, dans  une harmonieuse atmosphère de spirituelle liberté.  Aussi, le Seigneur nous prévient-il des risques de perte encourus, par négligence, imprudence, légèreté, irresponsabilité, au regard des dons et de la révélation reçus, face à la gravité et à l’urgence de l’heure:
Lorsque les cœurs se convertissent au Seigneur, le voile est ôté. Or, le Seigneur c'est l'Esprit; et là où est l'Esprit du Seigneur, là est la liberté. Nous tous qui, le visage découvert, contemplons comme dans un miroir la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en la même image, de gloire en gloire, comme par le Seigneur, l'Esprit  (2 Corinthiens 3:16-18)
Quiconque met la main à la charrue, et regarde en arrière, n'est pas propre au royaume de Dieu (Luc 9:62)
Ne vous y trompez pas: on ne se moque pas de Dieu. Ce qu'un homme aura semé, il le moissonnera aussi. Celui qui sème pour sa chair, moissonnera de la chair la corruption, mais, celui qui sème pour l'Esprit, moissonnera de l'Esprit la Vie Éternelle (Galates 6:7-8)
 
Mettez en pratique la parole, et ne vous bornez pas à l'écouter en vous trompant vous-mêmes par de faux raisonnements. Car, si quelqu'un écoute la parole et ne la met pas en pratique, il est semblable à un homme qui regarde dans un miroir son visage naturel, et qui, après s'être regardé, s'en va et oublie aussitôt quel il était (Jacques 1:22- 24) 

LE VÉRITABLE ÉTAT DE VIGILANCE EST PLEINE PARTICIPATION AU PROCESSUS ESCHATOLOGIQUE 

Jésus a annoncé, d’une part, l’imminence de la rencontre avec Dieu et, d’autre part, le surgissement, en sa personne même, de cet évènement comme déjà présent, justifiant ainsi l’urgence absolue d’entrée dans la condition de disciple, tout en proclamant, par ailleurs, la consommation totale de cette rencontre, comme évènement encore à venir. 

Le laps de temps s’écoulant entre les deux étapes respectives de cet évènement unique, est celui devant être mis à profit, selon les prescriptions du Maître, pour l’investissement des talents reçus dans l’action de partage du pain de l’évangile avec toutes les nations, l'édification de la communauté messianique et la contribution à l’avènement du Royaume, sous l’impulsion et la direction du Saint-Esprit – car le disciple est foncièrement co-ouvrier avec Dieu dans ce grandiose et prodigieux Dessein:

Dieu a voulu faire connaître quelle est la glorieuse richesse de ce mystère parmi les païens, savoir: Christ en vous, l'espérance de la gloire. C'est lui que nous annonçons, exhortant tout homme et instruisant tout homme en toute sagesse, afin de présenter à Dieu, tout homme devenu parfait en Christ (Colossiens 1:27-28)
Celui qui plante et celui qui arrose sont égaux, et chacun recevra sa propre récompense, selon son propre travail. Car, nous sommes ouvriers avec Dieu. Vous êtes le champ de Dieu, l'édifice de Dieu (1 Corinthiens 3:8-9) 

Les divers textes du nouveau testament illustrant les « postures de vigilance eschatologique », telles: la fidélité du serviteur, la vigilance du maître de maison, la prudence des vierges sages, sont toutes expressives d’un appel à « état de veille paroxystique » de la part du disciple, dans d’attente active de la venue de Dieu en Jésus:

Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point. Pour ce qui est du jour ou de l'heure, personne ne le sait, ni les anges dans le ciel, ni le Fils, mais le Père seul. Prenez garde, veillez et priez, car vous ne savez quand ce temps viendra (Marc 13:31-33)

Veillez donc, car vous ne savez quand viendra le maître de la maison, ou le soir, ou au milieu de la nuit, ou au chant du coq, ou le matin; craignez qu'il ne vous trouve endormis, à son arrivée soudaine. Ce que je vous dis, je le dis à tous: Veillez ! (Marc 13:35-37)

Le disciple ainsi engagé dans l’esprit de la grâce, menant une existence tendue en constance et tendance maximales vers le Royaume, à tout instant prêt à la rencontre de son Dieu, est dans le droit fil de l’accomplissement de la volonté du Père – en parfaite mesure de dire, à l’instar de son Maître :

Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui m'a envoyé, et d'accomplir son œuvre ! (Jean 4:34) 
Mon Père agit jusqu'à présent - moi aussi, j'agis ! (Jean 5:17)

mercredi 21 septembre 2016

LE SALUT DE L’HOMME REPOSE EXCLUSIVEMENT SUR UNE RÉDEMPTION ÉTERNELLE, PARFAITEMENT ACCOMPLIE EN JÉSUS, A LA CROIX DE GOLGOTHA - DIEU VOULANT DEMEURER EN TOUS, PAR UN SEUL: JÉSUS-CHRIST !


 


DIEU VEUT RÉVÉLER A CHACUNE DE SES CRÉATURES, SON INDÉFECTIBLE, INTARISSABLE, INTANGIBLE, INEXTINGUIBLE, INCOMMENSURABLE, IRRÉPRESSIBLE ET INCOMPRÉHENSIBLE AMOUR !
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Dieu nous a donné la vie éternelle et cette vie est dans son Fils - Celui qui a le Fils a la vie, celui qui n'a pas le Fils de Dieu n'a pas la vie (1 Jean 5 .11-12)  

La vie spirituelle authentique découle de l’attitude fondamentale d’un être accueillant positivement la sollicitation bienveillante du Dieu créateur de toutes choses, se présentant très personnellement à lui, bouleversant son cœur et suscitant le jaillissement de la foi, qui ouvrira la totalité de cet être à la fidélité de Dieu et à la réalisation de sa promesse de salut.

Le salut de l’homme repose sur une rédemption éternelle, parfaitement accomplie dans « l’évènement Jésus » - Dieu voulant demeurer en tous par un seul: Jésus-Christ ! Dans sa fidélité indéfectible à l’égard du pécheur, par son offre unilatérale gratuite de pardon et de salut, Dieu soustrait décisivement, définitivement, les hommes à leur condition transgressive structurelle - l’état de péché - issue de leur appartenance à la première race adamique psychique, déchue de tous droits et titres au Royaume de Dieu, en raison de la « transgression générique systémique catastrophique » perpétrée en Eden.

Comme par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort et qu'ainsi la mort s'est étendue sur tous les hommes, parce que tous ont péché (Romains 5.12)

Mais il n'en est pas du don gratuit comme de l'offense; car, si par l'offense d'un seul il en est beaucoup qui sont morts, à plus forte raison la grâce de Dieu et le don de la grâce venant d'un seul homme, Jésus Christ, ont-ils été abondamment répandus sur beaucoup (Romains 5.15)

Ainsi donc, comme par une seule offense la condamnation a atteint tous les hommes, de même, par un seul acte de justice, la justification qui donne la vie s'étend à tous les hommes (Romains 5.18)

La réalité de la grâce, que le pécheur est vivement invité à recevoir, ne consiste pas en une modification superficielle, formelle, de ses attitudes habituelles et de son tempérament de base, mais implique, bien au contraire, un total changement de paradigme, une complète et radicale transformation de son être profond, sous l’effet d’une puissante activité divine régénératrice, sur l’exclusif et divin modèle de Jésus-Christ !

Voyez quel amour le Père nous a témoigné, pour que nous soyons appelés enfants de Dieu ! Et nous le sommes. Si le monde ne nous connaît pas, c'est qu'il ne l'a pas connu (1 Jean 3.1-1)

Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n'a pas encore été manifesté, mais nous savons que, lorsque cela sera manifesté, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu'il est (1 Jean 3.1-2)

L’être centré sur Dieu, en qui il croit sans limitations, ni réserves, par un acte initial et une vie constante et permanente de foi, sous la puissante motion de l’Esprit, est pleinement transformé, par « effet d’ingénierie » de la grâce divine, à l’image de son Sauveur, conformément au dessein de son divin Créateur.

Nous tous qui, le visage découvert, contemplons comme dans un miroir la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en la même image, de gloire en gloire, comme par le Seigneur, l'Esprit (2 Corinthiens 3.18)

L’amour de Dieu pour ses enfants étant indéfectible, « l’être au Christ » vit dans la certitude absolue que Dieu œuvre en constance et permanence à son bien, en fonction de son plan de salut, selon l’esprit de la grâce - tout risque d’échec étant exclu - Dieu ne pouvant ni faillir, ni échouer !

Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein (Romains 8.28)

Dans toutes ces choses, nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés (Romains 8.28)

De plus, le salut étant de nature éminemment individuelle, il n’est, hors de la personne concernée, aucune puissance existant dans l’univers, susceptible de faire obstacle à la manifestation de l’Amour inextinguible de Dieu ou le détourner de son but.

J’ai l'assurance, que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir, ni les puissances, ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu manifesté en Jésus Christ, notre Seigneur. (Romains 8.38-39)

Le salut est, à tel point, tout aussi individuel que le chemin qui y mène, que lorsque l’Esprit-Saint intervient dans la vie de l’homme, il le conduit personnellement dans un réel process d’identification au Christ crucifié, ressuscité et glorifié, vecteur d’un changement complet de sa structure d’existence.

Vous savez où je vais, et vous en savez le chemin. Thomas lui dit: Seigneur, nous ne savons où tu vas; comment pouvons-nous en savoir le chemin ? Jésus lui dit: Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi (Jean 14.4-6)

Cette conformation au Christ, dans sa mort, sa résurrection et sa glorification, produit un effet de radical bouleversement de la condition de l’homme, sous forme de passage de l’ancienne, atavique structure d’existence transgressive, « pour la mort », à une nouvelle structure d’existence, « pour la vie ». Dès lors, conscient de son insertion dans l’univers de la résurrection, l’homme est et se sait irréversiblement mort au péché, ne se concevant plus en fonction des pseudo-valeurs de la chair, mais uniquement en fonction des authentiques valeurs de l’Esprit.

Si nous sommes morts avec Christ, nous croyons que nous vivrons aussi avec lui, sachant que Christ ressuscité des morts ne meurt plus, la mort n'a plus de pouvoir sur lui (Romains 6.8-9)

Ne livrez pas vos membres au péché, comme des instruments d'iniquité, mais donnez-vous vous-mêmes à Dieu, comme étant vivants de morts que vous étiez, et offrez à Dieu vos membres comme des instruments de justice (Romains 6.13)

Considérant, dès lors, le fait que chacun construit son présent en fonction de la perception qu’il a de son avenir, toute condition présente est configurée différemment, selon que l’on vit sous le règne du péché et de la mort, ou celui de la justice et de la vie; sous le régime de l’incrédulité et de la transgression, ou celui de la foi et de la justice; celui de la tristesse, ou de la joie; du mensonge, ou de la vérité; de la haine, ou de l’amour; de la honte, ou de la gloire …

Ainsi le rapport à la vie, ou rapport au Christ, est le fait d’une identification, conformation et insertion de l’être régénéré dans le Christ, faisant de celui-ci un être participant au Christ, devenant un seul être avec Lui, dans une relation de type singulier, exclusif, organique. A ce stade, le chrétien est dans l’Esprit et non plus dans la chair, l’Esprit l’ayant introduit dans une relation organique au Christ, l’ayant définitivement établi fils de résurrection, constitué dans la filiation eschatologique et la famille éternelle de Dieu !

Celui qui s'attache au Seigneur est avec lui un seul esprit (1 Corinthiens 6.16)

Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire (Jean 15.5)

Tous ceux qui sont conduits par l'Esprit de Dieu sont fils de Dieu. Et vous n'avez point reçu un esprit de servitude, pour être encore dans la crainte; mais vous avez reçu un Esprit d'adoption, par lequel nous crions: Abba ! Père ! (Romains 8.14-15)

La question du salut est d’une importance telle, décidant de la condition éternelle de chacun en particulier, que nul ne peut éluder sa propre responsabilité par biais de méconnaissance ou de pur déni, ou même s’exonérer de cette même responsabilité personnelle en se défaussant sur telle personne, groupe ou institution, « par procuration ». En fait, en matière de salut, demeure, intangible, l’inexorable principe de la responsabilité personnelle !

Dans cette optique, il est impératif, de se laisser chercher et trouver par le bon berger et, puisque c’est au moyen de la foi que Jésus transforme la vie de l’homme, Dieu va tout mettre en œuvre pour cela, en mettant à la disposition de celui-ci, en vue de son salut: l’évangile.

Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis (Jean 10.11)

Je connais mes brebis, et elles me connaissent comme le Père me connaît et comme je connais le Père; et je donne ma vie pour mes brebis (Jean 10.14-15)

La raison d’être de cet Évangile est de faire connaître la grâce de Dieu, mais plus encore, d’intervenir lui-même dans la communication de cette grâce par une manifestation réelle de puissance de régénération de l’existence de celui qui y ajoute foi. Ceci, en vertu du fait que l’évangile est, tout à la fois, information structurante, révélation surnaturelle détentrice d’une autorité, capable de bouleverser les cœurs, illuminer les consciences et transformer conditions et situations de tous genres, en suscitant la foi en la fidélité du Dieu qui rachète et sauve les perdus, quels qu’ils soient. C’est en ce sens que l’évangile procure le salut, la vie éternelle, sans acception de personnes, ni discrimination aucune !

Je n'ai pas honte de l'Évangile: c'est la Puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit, du Juif premièrement, puis du Grec, parce qu'en lui est révélée la justice de Dieu par la foi et pour la foi, selon qu'il est écrit: Le juste vivra par la foi (Romains 1.16-17)

Notre Évangile ne vous ayant pas été prêché en paroles seulement, mais avec puissance, avec l'Esprit Saint, et avec une pleine persuasion; car vous n'ignorez pas que nous nous sommes montrés ainsi parmi vous, à cause de vous (1 Thessaloniciens 1.5)

Si notre Évangile est encore voilé, il est voilé pour ceux qui périssent, pour les incrédules dont le dieu de ce siècle a aveuglé l'intelligence, afin qu'ils ne vissent pas briller la splendeur de l'Évangile de la gloire de Christ, qui est l'image de Dieu (2 Corinthiens 4.3-4).